1.12.05

… les femmes

8 juin 1979 (suite)... Aujourd’hui, j’ai envie de vous décrire la femme de mes rêves :
  • Il faut qu’elle m’aime avant tout ;
  • Qu’elle soit belle ;
  • Pas "frais-chière" ;
  • Qu’elle aime les enfants ;
  • Qu’elle aime la campagne ;
  • Qu’elle aime la lecture ;
  • Qu’elle adore le dessin ;
  • Qu’elle aime mes histoires ;
  • Qu’elle aime les animaux ;
  • Qu’elle ne fume pas ;
  • Qu’elle ne boit pas ;
  • Qu’elle soit travaillante ;
  • Qu’elle soit encourageante ;
  • Intelligente ;
  • Optimiste.

Enfin, je souhaite tout un petit brin de femme qui pourrait m’aider et me comprendre.

Je pense que José a fini par la trouver... en moins de 10 ans seulement!

* * *

Personnellement, ce ne sont pas les seins que je regarde chez une femme, mais plutôt le visage. Lindsey Wagner (la femme bionique) me plaît beaucoup même si elle n’a aucune poitrine. Avant, et encore un peu aujourd’hui, je tripais sur des affiches de Farrah Fawcett, Jaclyn Smith, Linda Carter, Cherill Ladd et Rachel Welsh, pour ne nommer que celles là. J’étais excité par leurs cuisses si douces qui sortaient de leurs robes fendues jusqu’à la taille. C’était fantastique ! Voyez-vous, j’étais fou, mais je ne devais pas être le seul. Parfois je me fais des petits scénarios dans ma tête. J’imagine une fille de la classe, formidable, qui viendrait chez moi pour étudier. Il suffirait que j’échappe un jus sur elle pour ensuite l’aider à s’essuyer... J’ai songé à un maniaque qui grâce à un gaz obéissant, pouvaient séduire les plus belles filles de l’école. Je pensais à toutes les filles qui avaient quelque chose d’intéressant et je m’imaginais passer de classe en classe pour les savourer [...] Je pensais même à la prof de gym des filles. Parfois, mes fantasmes m’amenaient vers des filles en dehors de l’école, comme ma cousine Gertrude, la fille de Ginette.

Je voyais des filles partout l’an passé, maintenant je me contrôle mieux. J’utilise les idées qui me viennent pour mon écriture, ça devient des scènes érotiques pour mes prochains romans.

Chose étrange, quand je fais ça, je ne pense pas à France. Et quand je vois France, je ne pense plus à ça. Peut être que notre lien est plus grand que l’amour. Ou bien, c’est parce qu’elle est réelle et que je me contrôle bien dans le réel.

À moins que je ne l’aime pas... Impossible !

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